Première avenue à Amos, en Abitibi |
1967
En Abitibi, deux villes se disputent la création d'un nouveau collège d'enseignement général et professionel (CÉGEP) : Rouyn et Amos. C'est finalement la ville de Rouyn qui obtient le permis pour l'érection du nouveau collège.
L'arrivée d'une nouvelle structure dans le domaine de l'enseignement post-secondaire aura des répercussions sur l'ensemble des établissements d'enseignement de l'Abitibi. Les écoles normales de Senneterre, de Ville-Marie et de Rouyn ferment tour à tour alors que le cours classique disparaît. Par ailleurs, certains programmes, tels que le cours d'agriculture ou la technique infirmière, seront absorbés par les écoles secondaires ou les cégeps.
En référence: Odette Vincent, dir. Histoire de l'Abitibi-Témiscamingue, Coll.: «Les Régions du Québec», Québec, Institut québécois de recherche sur la culture, 1995, p.538.