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Début des travaux de construction de l'édifice G à Québec

Le gouvernement du Québec fait construire un gratte-ciel sur la colline parlementaire. D'abord appelé édifice G, il sera renommé édifice Marie-Guyart.

En 1963, le rapport Fiset proposait un plan d'aménagement de la colline parlementaire interdisant la construction d'immeubles dont la hauteur serait supérieure à celle de la tour centrale de l'hôtel du gouvernement. Toutefois, ce plan sera mis de côté. On juge que de limiter la hauteur des édifices n'est pas de nature à favoriser la participation de l'entreprise privée. C'est ainsi que l'on autorise l'érection de plusieurs immeubles qui modifieront en profondeur le visage de la colline parlementaire : Place Québec, l'hôtel Loews, Le Concorde, l'hôtel Hitlon, l'Auberge des Gouverneurs, etc. C'est toutefois le gouvernement du Québec qui construit le gratte-ciel qui domine ce secteur. Destinée à loger les bureaux du ministère de l'Éducation, la tour de l'édifice Marie-Guyart est haute de 31 étages. Symbole de l'expansion du secteur public, cette construction témoigne également de la fascination que l'on éprouvait alors pour les tours à bureaux, souvent associées au progrès et à la modernité.


En référence: Luc Noppen et Lucie K. Morriset, Québec de roc et de pierres : la capitale en architecture, Sainte-Foy, MultiMondes, 2000, 150 p. Jean-Marie Lebel et Alain Roy, Québec 1900-2000: le siècle d'une capitale, Sainte-Foy, MultiMondes, 2000, 157 p.
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