Déclenchement d'une grève par les typographes de la ville de Québec affiliés à l'Union internationale des typographes
Malgré les ordres de grève provenant du bureau chef de l'Union internationale, à Indianapolis, la publication de journaux tels que le «Soleil», «l'Événement» et le «Quotidien» n'a pas été interrompue.
Les ouvriers internationaux des ateliers de typographie demandent une dimimution de la semaine de travail à 44 heures et une augmentation de salaire de 8 dollars par semaine.
En référence:
Le Devoir, 15 février 1922 p. 3
En complément:Jacques Rouillard, Histoire du syndicalisme québécois, Montréal, Boréal, 1989, p.71-152.
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