Fondation du Congrès canadien du travail
Lors d'une réunion qui se déroule à Toronto, le Congrès pancanadien du travail et la section canadienne du Congress of Industrial Organizations (CIO) décident de fusionner.
Cette union donne naissance au Congrès canadien du travail (CCT), une nouvelle centrale qui sera présidée par Aaron Mosher. Le CCT compte 77 000 membres à sa fondation, mais regroupe très peu de syndicats au Québec.
En référence:
Jacques Rouillard, Histoire du syndicalisme québécois, Montréal, Boréal, 1989, p.161. L'Encyclopédie du Canada: édition 2000, Montréal, Stanké, 2000, p.598.
En complément:Charles Lipton, Histoire du syndicalisme au Canada et au Québec, 1827-1959, Montréal, Parti Pris, 1976, p.407-412. Irving Abella, Nationalism, Communism and Canadian labour : the CIO, the Communist Party and the Canadian Congress of Labour, 1935-1956, Toronto, Presses de l'Université de Toronto, 1973, 256 pages.
http://www.civilization.ca/hist/labour/labh28f.html
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