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0 - Née à Troyes, la capitale de la Champagne, Marguerite Bourgeoys a vingt ans, en 1640, lorsqu'elle décide de consacrer sa vie à Dieu. Après un refus d'être admise chez les communautés cloîtrées, elle choisit d'oeuvrer parmi les pauvres de Troyes comme membre d'un groupe externe associé à la Congrégation de Notre-Dame de Troyes, une communauté d'enseignantes cloîtrées. Treize années s'écoulent avant que Louise de Chomedey de Sainte-Marie, la directrice du groupe d'externes, propose le nom de Marguerite à son frère Paul pour aller enseigner à Ville Marie, en Nouvelle-France. Marguerite débarque à Montréal en 1653. Elle fonde l'une des premières communauté de religieuses non cloîtrées de l'Église catholique, une communauté qui, du temps de sa fondatrice, a inclus dans ses rangs des Amérindiennes et des femmes des colonies britanniques aux côtés des Françaises et des filles des premiers colons. Ces femmes enseignaient aussi bien à Montréal qu'à Trois-Rivières, à Québec et dans les petits établissements le long du Saint-Laurent. Marguerite est également la fondatrice de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours ; elle accueillait les filles du Roi et venait en aide aux premiers colons dans leurs nécessités. Son corps a été inhumé dans la première église Notre-Dame sur la place d'Armes actuelle. À sa mort, le 12 janvier 1700, elle était déjà considérée comme une sainte. Marguerite Bourgeoys a été canonisée en 1982. (Extraits de Notre-Dame-de-Bon-Secours, une chapelle et son quartier par Patricia Simpson et Louise Pothier). Venue de France pour instruire les colons et les autochtones, Marguerite s'entoure de jeunes femmes à qui elle transmet sa passion pour l'enseignement. C'est le début des soeurs de la Congrégation de Notre-Dame qui, encore aujourd'hui, continuent son oeuvre d'éducation. Cette oeuvre est évoquée dans LA SALLE DE LA CONGRÉGATION où les trois premières missions, l'École-étable, la Mission de Montagne et la Ferme Saint-Gabriel sont illustrées par différents hologrammes. La SALLE DE TROYES et la SALLE DES FIGURINES présentent l'histoire de la vie et de la vocation de Marguerite Bourgeoys et la SALLE DU VRAI PORTRAIT évoque la découverte du Vrai Portrait de la fondatrice.


Née à Troyes, la capitale de la Champagne, Marguerite Bourgeoys a vingt ans, en 1640, lorsqu'elle décide de consacrer sa vie à Dieu. Après un refus d'être admise chez les communautés cloîtrées, elle choisit d'oeuvrer parmi les pauvres de Troyes comme membre d'un groupe externe associé à la Congrégation de Notre-Dame de Troyes, une communauté d'enseignantes cloîtrées. 

Treize années s'écoulent avant que Louise de Chomedey de Sainte-Marie, la directrice du groupe d'externes, propose le nom de Marguerite à son frère Paul pour aller enseigner à Ville Marie, en Nouvelle-France. Marguerite débarque à Montréal en 1653. 

Elle fonde l'une des premières communauté de religieuses non cloîtrées de l'Église catholique, une communauté qui, du temps de sa fondatrice, a inclus dans ses rangs des Amérindiennes et des femmes des colonies britanniques aux côtés des Françaises et des filles des premiers colons. Ces femmes enseignaient aussi bien à Montréal qu'à Trois-Rivières, à Québec et dans les petits établissements le long du Saint-Laurent. 

Marguerite est également la fondatrice de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours ; elle accueillait les filles du Roi et venait en aide aux premiers colons dans leurs nécessités. Son corps a été inhumé dans la première église Notre-Dame sur la place d'Armes actuelle. À sa mort, le 12 janvier 1700, elle était déjà considérée comme une sainte. Marguerite Bourgeoys a été canonisée en 1982.
(Extraits de Notre-Dame-de-Bon-Secours, une chapelle et son quartier par Patricia Simpson et Louise Pothier).

Venue de France pour instruire les colons et les autochtones, Marguerite s'entoure de jeunes femmes à qui elle transmet sa passion pour l'enseignement. C'est le début des soeurs de la Congrégation de Notre-Dame qui, encore aujourd'hui, continuent son oeuvre d'éducation. Cette oeuvre est évoquée dans LA SALLE DE LA CONGRÉGATION où les trois premières missions, l'École-étable, la Mission de Montagne et la Ferme Saint-Gabriel sont illustrées par différents hologrammes. La SALLE DE TROYES et la SALLE DES FIGURINES présentent l'histoire de la vie et de la vocation de Marguerite Bourgeoys et la SALLE DU VRAI PORTRAIT évoque la découverte du Vrai Portrait de la fondatrice.


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